Archives pour la catégorie Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Des mesures concrètes pour une meilleure prise en charge de l’autisme

Ce samedi 14 novembre, La Meuse consacrait un article à Déborah, cette maman de deux enfants autistes qui a dû choisir lequel des deux sauver http://www.lameuse.be/1422824/article/2015-11-13/liege-j-ai-du-choisir-lequel-de-mes-deux-fils-sauver

Depuis ma prise en fonction comme Députée wallonne, j’ai pu la rencontrer, à plusieurs reprises, avec d’autres mamans d’enfants atteints d’autisme notamment grâce à Fabrice Drèze, conseiller communal à Liège. Elles font preuve d’un courage incroyable, d’une détermination sans faille dans ce combat de tous les instants.

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Sans titre

J’ai déjà fait part, sur ce site, des nombreuses questions parlementaires adressées tant au Ministre de la santé et de l’action sociale du Gouvernement wallon, qu’à la Ministre de l’éducation et de l’enfance au Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles :               http://www.virginiedefrangfirket.be/2015/06/01/1-belge-sur-100-souffre-dautisme-les-familles-attendent-du-politique-un-soutien-clair-et-concret/

http://www.virginiedefrangfirket.be/2015/04/02/autisme-on-attend-des-mesures-concretes/

Pour aller plus loin, et inciter les deux Ministres à stopper les effets d’annonce et à réellement avancer dans ce dossier, j’ai déposé, le 20 octobre dernier, une proposition de résolution relative à des mesures concrètes pour une meilleure prise en charge de l’autisme : http://archive.pfwb.be/10000000202207b

Dans ma proposition, je demande au Gouvernement de :

  • œuvrer, en collaboration avec les autres niveaux de pouvoir, à la création d’un réseau de repérage de l’autisme et de dépistage précoce. Il est en effet confirmé que plus l’autisme est diagnostiqué rapidement et meilleur la prise en charge est, plus les chances de développement de l’enfant augmentent.
  • envisager la mise en place, dès la naissance, d’une information aux familles par un ajout au carnet de santé et une brochure spécifique qui pourrait être remise lors des premières consultations obligatoires de l’ONE ;
  • mettre tout en œuvre pour garantir un diagnostic dans les trois mois à partir de la première demande des parents sur la situation de leur enfant et d’augmenter les possibilités de prise en charge après le diagnostic ;
  • former les parents sur les troubles autistiques et les besoins spécifiques des personnes avec autisme et leur offrir les connaissances et les outils essentiels pour faire face à cette situation ;
  • analyser la possibilité, dans l’enseignement supérieur, de former tous les professionnels, notamment de la petite enfance, susceptibles d’être en contact avec des enfants autistes au cours de leur carrière (personnel médical et paramédical, instituteurs, puéricultrices, travailleurs sociaux,…) à la détection précoce de l’autisme et à l’annonce du diagnostic en vue d’orienter les parents vers le service adéquat, ainsi qu’aux notions de base de l’intervention spécifique auprès des jeunes enfants autistes. Il existe, à cet effet, des outils simples d’utilisation, aisément maîtrisés et peu coûteux comme le C.H.A.T et le M-C.H.A.T. ;
  • veiller à intégrer, dans les formations continuées de l’enseignement supérieur, et pour ces mêmes filières d’études et ces mêmes professionnels, des cours/modules sur l’autisme ;
  • développer, dans la mesure du possible, des classes à pédagogie adaptée dans des écoles de l’enseignement ordinaire, avec passerelles vers les autres classes et activités de l’école ;
  • dégager, dans la limite des crédits disponibles en Fédération Wallonie-Bruxelles, les moyens nécessaires pour mettre en place un maximum de classes inclusives avec binômes (enseignants et pédagogues qui, eux se concentrent spécifiquement sur l’enfant autiste) et soutenir ainsi la scolarisation adaptée des enfants en milieu ordinaire ;
  • désigner, au sein des écoles ou des Pouvoirs Organisateurs, un poste de Référent Coordinateur Autisme lorsqu’un ou plusieurs enfant(s) autiste(s) désire(nt) les fréquenter ;
  • sensibiliser, dans les écoles, les centre PMS et services PSE à l’autisme ;

 

Les familles attendent des résultats depuis de trop nombreuses années.

L’annonce d’un plan autisme le 2 avril lors de la journée internationale de ce trouble est une avancée, mais il est maintenant plus que temps de proposer des mesures concrètes, un calendrier et un budget pour les mettre en œuvre.

Des solutions ont été proposées et mises en œuvre en Flandre et dans d’autres Pays (la France est dotée d’un Plan autisme depuis 2005 – la troisième version couvre les années 2013 à 2017). Elles ont fait leurs preuves mais ne sont pas reconnues en Wallonie, et donc pas subsidiées.

Chez nous, on en est toujours au stade de l’analyse, de l’étude, de la concertation…

STOP aux tergiversations, place aux actes : dépistage précoce, accompagnement des familles, formation des professionnels, classes inclusives : voilà des solutions.

Nouveaux sports, nouveaux adeptes !

En commission des Sports du 5 octobre 2015, j’ai interpellé le Ministre Collin à de nombreuses reprises.

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Tout d’abord, au sujet des championnats du monde d’athlétisme de Pékin, où la Belgique a décroché deux places dans le top 8, dont une médaille d’argent, et six places dans le top 12.

Je voulais connaître le point de vue du Ministre à l’égard de ces résultats, des perspectives attendues pour les JO de Rio et des objectifs formulés à ce sujet.

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En réponse à cette interpellation, le Ministre a souligné la prépondérance francophone au sein de la délégation belge, les bons résultats des athlètes francophones, ainsi que le fait que leur jeunesse laisse présumer de l’existence d’une marge de progression importante, de bon augure avant les JO.

J’ai ensuite interrogé le Ministre au sujet du développement de nouveaux sports et initiatives sportives, tels que le «bubble Bump», le « padel » ou encore la pratique du « disque volant» ou frisbee.

Toutes abordaient le soutien apporté par le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, à la création et au développement de nouveaux sports afin d’attirer de nouveaux publics de profils variés (jeunes, femmes, seniors,…) qui, pour de multiples raisons, ne pratiquent pas d’activité sportive plus ordinaire.

En réponse à ces différentes interpellations, le Ministre des Sports a, tout comme moi, noté et apprécié le nombre grandissant de nouveaux sports. Il a également souligné que ces initiatives ont le mérite d’attirer le regard des citoyens sur le sport et sur tous les sports mais il rappelle que toutes les initiatives ne peuvent être supportées par l’ADEPS, Infrasport ou le Gouvernement, en général. Le padel, le bubble bump et le disque volant, n’étant pas, à l’heure actuelle, des activités suffisamment développées pour recevoir l’aide matérielle et le soutien officiel de la FWB.

En ce qui concerne l’initiation au sport pour personnes ayant, par exemple, une vue déficiente, objet de ma dernière question, Monsieur Collin a rappelé que la déclaration de politique communautaire « définit le sport pour les personnes handicapées comme une priorité en prévoyant une augmentation de l’offre sportive spécifique et en renforçant le soutien aux moniteurs spécialisés », ce qui ne peut que me réjouir et ce à quoi je resterai particulièrement attentive.

Cliquez ici pour accéder à l’ensemble de ces questions

Commission de l’aide à la jeunesse : focus sur les conditions de travail au sein du secteur

Le 6 octobre dernier, en commission de l’Aide à la Jeunesse, j’ai adressé plusieurs questions au Ministre compétent, Rachid Madrane.

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Je l’ai interrogé sur l’impact de la grève du personnel de l’IPPJ de Saint-Hubert survenue suite à l’éclatement d’émeutes au sein de l’établissement durant la nuit du 23 au 24 août dernier.

J’ai rappelé au Ministre les préoccupations des éducateurs s’exprimant dans la presse quelques temps plus tôt et tirant la sonnette d’alarme quant aux difficultés qu’ils éprouvent pour maintenir l’ordre dans ces structures. Propos qui n’avaient étonnamment pas été relayés lors de la visite de notre commission à cet l’établissement, quelques mois plus tôt.

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Le Ministre a considéré que c’est le rôle des éducateurs de maintenir l’ordre et de faire appliquer les sanctions prévues par les législations régissant les IPPJ.  Il fait valoir que ces textes ont été rédigés en collaboration avec des représentants du personnel éducatif des IPPJ et que, malgré l’existence d’une procédure d’évaluation, les intervenants de l’IPPJ de Saint-Hubert n’ont pas mentionné de règles constituant une menace pour la sécurité des membres du personnel.

Monsieur Madrane a préféré estimer que le mal-être des éducateurs était le fruit des bouleversements engendrés par la réforme de l’Etat et le transfert des compétences qui a suivi, et conclure que cet événement n’illustre « en rien un problème de sécurité dans les IPPJ […] ».

Je ne me satisfais pas d’une telle réponse et, en tant que membre de la commission de l’Aide à la jeunesse, je resterai attentive aux conditions de travail et à la sécurité du personnel et des jeunes au sein de ces institutions.

Je me suis également intéressée aux fruits de la journée de réflexion sur l’accrochage scolaire qui s’est déroulée le 26 mars 2015 à Seraing entre des acteurs du monde de l’enseignement et de l’aide à la jeunesse.

Premièrement, Monsieur Madrane n’a pas assisté personnellement à cette journée pourtant importante ; des membres de son administration étaient néanmoins présents. Ensuite, malgré la volonté d’échanger des bonnes pratiques, le Ministre me confirme l’existence de difficultés pour la mise en œuvre du décret organisant des politiques conjointes entre l’Enseignement obligatoire et l’Aide à la jeunesse. Il m’informe que les solutions à ces difficultés sont pensées de manière globale et que la première évaluation du dispositif n’est prévue que pour 2018, au plus tôt.

Je resterai donc attentive à l’évolution de la mise en œuvre de ce décret. En effet, j’estime que la constitution d’un axe enseignement/aide à la jeunesse est essentielle, notamment en matière d’accrochage scolaire.

Enfin, j’ai souhaité faire le point sur les premiers mois de mise en service du numéro vert «radicalisation», destiné à venir en aide aux personnes touchées par le radicalisme.

D’après le Ministre, le service reçoit 1 appel tous les 4 jours. La majorité provient de la Région bruxelloise. 42 % de ces appels viennent de la famille d’une personne radicalisée ou en passe de radicalisation et 33% de proches, les 25 % restants sont des appels de professionnels – aide à la jeunesse, psychologues, CPAS, etc. – à la recherche d’informations générales. 70% des demandes concernent des mineurs. Monsieur Madrane estime cependant qu’il est trop tôt pour faire une évaluation du dispositif.

Accéder, ici, à l’ensemble de ces question

Aide à la jeunesse : Une vraie réforme ou une façon de dégager des budgets ?

Ce mercredi 7 octobre 2015 en séance plénière, j’ai interpellé le Ministre Rachid Madrane (PS) quant à son avant-projet de décret modifiant le secteur de l’aide à la jeunesse, mais aura obtenu pour seule réponse le chemin législatif que prendra ce texte au cours des prochains mois… reportant à mars tout débat.

Retrouvez, ci-dessous, le communiqué de presse envoyé par le MRDSC00661

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« C’est hallucinant ! Le Soir ayant pu prendre connaissance du contenu de cet avant-projet de décret avant le parlement, nous nous attendions à commencer le débat là où il doit avoir lieu. Mais à part un cours de sciences politiques sur la procédure législative d’un décret, rien ! Le Groupe PS a d’ailleurs refusé le principe d’un débat d’actualité sur le sujet. S’il est évident qu’une telle réforme est nécessaire, tout comme en débattre au parlement, le Ministre a confirmé qu’il n’y aurait pas de budget avant 2017… Ceci explique peut-être cela !», déplore Virginie Defrang-Firket.

La députée MR avait pourtant des questions précises, notamment sur la pénurie de familles d’accueil : « En effet pourquoi privilégier cette seule piste de solution sur toute autre plutôt que de laisser à l’appréciation du secteur ce qui convient pour chaque situation ? Et sans famille d’accueil, où ira dès lors le jeune ? »

Par ailleurs, le MR se demande également :

  • Revoir les conditions de dessaisissement, n’est-ce pas là une façon de se substituer au juge compétent en la matière ?
  • Le non-placement en IPPJ de jeunes de moins de 14 ans : est-ce une réelle conviction ou une manière détournée de dégager des moyens permettant de financer son institution publique d’accueil des jeunes ayant commis un fait qualifié d’infraction à Bruxelles ?
  • Requérir, dans le cadre de l’aide volontaire, un accord écrit du jeune et ce, à partir de 12 ans, n’est-ce pas faire peser sur cet enfant déjà fragilisé dans un contexte familial difficile le poids d’une lourde décision ?
  • Où trouver l’argent pour l’accompagnement des jeunes jusque 25 ans alors que le secteur peine à le faire correctement jusque 18 ans ?

« Le Ministre a évoqué dans la presse que son texte serait soumis à concertation, mais peut-on espérer qu’elle soit réelle alors que les mesures ont déjà été annoncées ? Par ailleurs, je regrette que les magistrats aient été pointés du doigt par M. Madrane… Pour une telle réforme, il est bon d’avoir l’adhésion de tous ! », souligne Virginie Defrang-Firket.

Un an après… Que retenir ?

Serment PW 2014Ce 18 juillet, les portes des Parlements wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles se sont fermées pour une pause estivale.

Que retenir un an après ma prestation de serment ?

J’ai été désignée dans des commissions passionnantes : d’un coté les pouvoirs locaux, l’énergie, le logement et les questions européennes, et, de l’autre, l’aide à la jeunesse et le sport.

Les dossiers ne manquent pas. Continuer la lecture de Un an après… Que retenir ? 

L’opposition fait son travail, avec davantage de respect sans doute que ce que nous voyons au Fédéral.

Nous pouvons regretter le manque d’ambition de la majorité qui tarde à prendre des mesures et à avancer dans le sens des réformes souhaitées. Pour l’instant, les Ministres ne proposent pas énormément de décrets, ce qui laisse l’opportunité aux Parlementaires de mettre en exergue ce qui ne va pas via les questions posées en commissions aux différents Ministres.

  1. Premier volet important de mon mandat de Députée, j’ai pu rencontrer de nombreux acteurs de terrain. Prendre le pouls, au sein même de la population ou consulter les spécialistes, ceux qui ont un point de vue particulièrement aiguisé sur tel ou tel dossier, est particulièrement enrichissant. J’ai ainsi rencontré des mamans d’enfants autistes, des responsables dans les télécommunications, des associations culturelles, des responsables sportifs, des avocats spécialisés dans l’aide à la jeunesse, des responsables de milieux d’accueil de l’aide à la jeunesse, des chefs d’entreprises, des acteurs économiques,… Leur éclairage et leur expérience me permettent d’être en phase avec les réalités du terrain et de prendre pleinement conscience des mesures proposées.
  1. J’ai également pu relayer plusieurs dossiers problématiques de l’arrondissement de Liège et de ma commune de Neupré pour laquelle je peux m’investir encore plus qu’avant (ce qui ne plait pas toujours au Collège).

C’est ainsi que j’ai posé plusieurs questions, entre autres, sur la sécurisation de la route du Condroz, sur les projets d’implantations d’éoliennes à Engis, l’ouverture de la zacc et le projet d’unité de biométhanisation, la taxe sur les déchets ménagers, la nouvelle école de Rotheux, sur le projet d’agora-space, sur le rapido-bus, et enfin sur la gestion communale neupréenne (bulletin communal, accès aux documents communaux, réunion conjointe avec le CPAS,…)

  1. Dans les dossiers qui m’ont mobilisée davantage de temps, je vous ai déjà parlé de plusieurs d’entre eux.

Vous retrouverez, en suivant ces liens :

ICI => ma proposition de résolution relative au soutien du secteur des drones en Wallonie. Proposition que j’ai présentée à la presse avec Gilles Foret lorsque nous présentions, aussi, une étude du Centre Jean Gol sur le développement des drones

ICI => ma proposition de résolution relative à l’encouragement des pouvoirs locaux à la participation aux opérations de sensibilisation au don d’organes

ICI => un résumé de mes nombreuses questions au sujet de l’autisme

ICI => plusieurs de mes questions sur les familles d’accueil et le secteur de l’aide à la Jeunesse

ICI => diverses questions posées en commission des sports

ICI => un résumé de mes questions sur le secteur liégeois de l’armurerie

ICI => une proposition de résolution sur la liaison CHB

  1. J’ai également porté la position du MR dans les débats relatifs au TTIP, ce partenariat commercial entre l’Europe et les USA, et le CETA, accord de libre échange entre le Canada et l’Europe.

Nous pensons que ces traités peuvent être une opportunité pour nos entreprises et que, plutôt que de dire démagogiquement NON à tout, nous prendons le temps d’analyser ces accords une fois aboutis. Il n’est en tout cas pas question que ces traités portent atteinte à nos standards de protection en matière de santé, d’environnement et de protection des consommateurs et des travailleurs.

De nombreuses contre-vérités ou malentendus sèment le trouble au sein de la population.

Nous préférons faire confiance aux négociateurs européens, à la Commission et au Parlement européen.

Nous comptons sur la commissaire Malstrom pour aboutir à un système transparent en ce qui concerne l’ISDS, la clause de règlement des litiges entre les Etats et les investisseurs.

  1. En bref,

Au Parlement wallon, vous pouvez suivre mon travail quotidien en suivant ce lien

  • 9 propositions de décret (que j’ai déposée personnellement ou dont je suis cosignataire)
  • 8 propositions de résolution (que j’ai déposée personnellement ou dont je suis cosignataire)
  • 1 proposition de motion (que j’ai déposée personnellement ou dont je suis cosignataire)
  • 2 interventions lors de débats
  • 3 questions d’actualité
  • 53 questions orales
  • 147 questions écrites

Au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, pour suivre mon activité, c’est par ici

  • 1 proposition de résolution (que j’ai déposée personnellement ou dont je suis cosignataire)
  • 4 interpellations
  • 9 questions d’actualité
  • 137 questions orales
  • 89 questions écrites

 

À la rentrée, les Ministres devraient avancer sur la concrétisation de leur accord de Gouvernement. Nous continuerons à mener une opposition ferme mais constructive et respectueuse.

De nombreux projets restent à défendre, de multiples causes doivent être entendues, j’y veillerai dans mes commissions notamment mais également dans les dossiers qui me tiennent à cœur.

Je reste bien sûr à votre entière disposition pour toute information complémentaire.